Installation du nouveau mobilier urbain

Installation du nouveau mobilier urbain

Nous poursuivons l’aménagement de notre commune et de ses circuits de randonnée.
Ces derniers jours, nos employés communaux ont débuté la pose de nouveaux bancs. Ils en ont déjà posé 3 rue Saint- Émilion :
  • 1 banc double assise au niveau de la fontaine située à l’intersection avec la rue Marcel Dolhem, offrant ainsi une vue sur la rue mais également sur les vignes et la vallée.
  • 1 banc simple sur le parvis de l’Eglise.
  • 1 banc 3/4 cercle derrière l’église permettant à plusieurs personnes de pouvoir discuter ensemble tout en admirant la vue sur l’église et la rue Saint-Émilion.
D’autres installations de mobilier urbain sont prévues dans les prochaines semaines (bancs, tables, poubelles). Ces aménagements étant situés sur les circuits de randonnée, ils sont éligibles à des subventions.
Ainsi, pour ceux-ci, nous avons obtenu 80% de financement auprès des fonds européens LEADER (par l’intermédiaire du petr-UCCSA).


 

Forêt –  Les lots ont été attribués

Forêt – Les lots ont été attribués

Quatre lots étaient en concurrence. Les lots n°1, 2 et 4 ( broyage, préparation du sol, protections ) ont été attribués à la société Musial. Le lot n°3 ( plantations ) revient à la société Lechapt. Les travaux sous le contrôle de l’ONF devraient débuter dès le mois de septembre.


 

Replantation de la forêt

Replantation de la forêt

La gestion (surveillance, entretien, coupes, reboisements) de la forêt de Mont-Saint-Père dite « les usages » est confiée depuis très longtemps à l’Office national des forêts (ONF). Sur son expertise, le précédent Conseil municipal, sous la présidence du maire Joseph Rollinet, a dû prendre en 2018 la cruelle délibération de faire abattre l’ensemble des frênes menacés par la « chalarose », maladie irréversible due à un champignon. Ils représentaient à eux seuls 64,7 % de notre forêt. Un très large quart nord-est de la France est désormais touché.

Une décision éclairée

Une bonne décision difficile mais sage car la forêt était en péril.
En 2019, l’ONF propose donc le volume de coupe à une vente aux enchères à Rouen. Il est adjugé le 30 avril 2020 pour la somme avantageuse de 253 000€, emporté par un exploitant forestier du nord de l’Aisne.
C’était donc une décision éclairée du précédent maire car depuis, le marché s’est effondré. Tous cherchent maintenant à vendre leurs frênes à présent malades, dégradés. Sans cette anticipation, Il ne nous serait resté que nos yeux pour pleurer…

Restaurer dans un délai de 5 ans après une coupe est une obligation

En 2020, l’ONF envisage alors compter sur une seule régénérescence naturelle en conseillant toutefois à la commune de provisionner 150 000 € de replantation (sans aucune subvention à espérer) si celle-ci s’avère insuffisante en densité et en diversité des essences.
Mais en 2021, l’ONF nous présente un nouveau scénario. Le plan de relance de l’État propose maintenant de financer à 80% un plan de reboisement. Il ne se substitue pas à la régénérescence naturelle, bien sûr conservée, mais propose de la compléter par la plantation d’essences nouvelles diversifiées, optimisées.

43 000 € d’investissement

C’est la somme qu’il en coûtera à la commune pour recréer une forêt raisonnée plus résistante au réchauffement climatique annoncé.
C’est un investissement qui ne pourra s’évaluer qu’à l’horizon des années 2050. Ce 4 mars 2022, le Conseil municipal en avait pleinement conscience au moment du vote sur l’autorisation donnée au maire pour signer la convention avec l’État.
Entamées en 2021, les coupes se poursuivent jusqu’en 2023. Les replantations s’étaleront de 2023 à 2025.
Le plan ONF de reboisement est consultable en mairie.