C’est toujours à l’état d’avant-projet même si les subventions du département ont été accordées.
Le dialogue entre le bureau d’étude, l’assistant à maître d’oeuvre et l’agglomération compétente sur la gestion des eaux pluviales est tortueux et traîne.
Le point d’achoppement se porte sur le choix d’une option avec un seul caniveau central ou deux sur chaque côté, équivalents pour l’effficacité de l’écoulement des eaux pluviales, faut-il le préciser.
Selon le bureau d’étude, avec une emprise de chaussée de moins de 4,50 m par endroit, le caniveau central ne permet pas de déposer l’enrobé avec les engins modernes, donc avec du compactage à l’ancienne, forcément inesthétique sur 300 m. de long et moins résistant au temps.
Deux caniveaux sur les côtés, ce serait des tuyaux en plus à la charge de l’entretien de l’agglo. Alors, ça coince entre eux. ■