Notre comité des fêtes « Mont-Saint-Père en fête » nous a préparé un joli mémo actuellement en cours de distribution dans nos boîtes aux lettres.
Vous y retrouverez le calendrier des animations prévues dans notre commune pour cette année 2024 organisées par la municipalité ou par les différentes associations qui animent Mont-Saint-Père.
Ce joli mémo trouvera à coup sur une bonne place sur votre frigo pour ne rien rater tout au long de l’année.
Pour l’année scolaire 2024-2025, les inscriptions dans une des 3 écoles du regroupement seront ouvertes :
Documents à présenter :
Pour les enfants déjà scolarisés dans une des trois écoles du regroupement, les parents n’ont aucune démarche à effectuer.
Je me garderai bien de commenter l’actualité internationale, nationale, écologique qui nous inquiète depuis des mois ou bien celle de la Communauté d’agglomération qui est agitée de remous ces dernières semaines.
Je m’en tiendrai donc à rester sur l’actualité municipale, le principal objet de ce bulletin.
Celui de la rue David Nillet ou celui de la rénovation de la salle des fêtes ne stagnent pas mais naviguent paisiblement dans des méandres d’officines souvent débordées.
C’est lent, c’est très lent, c’est très très lent. On subit le cours.
Un nouveau bungalow sur l’aire de jeux, l’aménagement d’une pièce d’archives au sous-sol de la mairie, le dernier mur communal à restaurer, l’installation route de Château-Thierry d’une œuvre architecturale des années 70 sur un terrain inutile pour la commune, l’organisation du centenaire Léon Lhermitte se finalisent.
Dès qu’on peut s’en occuper tout seul, ça trottine davantage.
La solidarité entre habitants du village n’est jamais prise en défaut. Elle s’est encore illustrée depuis décembre. Merci à tous.
La neige a mobilisé à plusieurs reprises nos employés municipaux tard dans la nuit et très tôt le matin pour nous permettre d’emprunter nos rues au mieux. Vous avez été nombreux à demander de leur témoigner vos remerciements. Ils en ont été très touchés.
Les intempéries, avec des chutes d’arbres, des éboulements de talus dans les vignes, les risques de débordement du ru Dolly retiennent toute notre vigilance. ça devient quand même pesant…
Mais on est récompensé aussi par tant de bons moments partagés ensemble depuis le dernier bulletin et en se régalant déjà de ceux à venir. Et la réouverture du café, c’est pas chouette ?
Deux dépôts d’ordures route de Beuvardes, une boîte aux lettres illégale route de Chartèves, deux chauffards du petit matin à l’arrêt de bus, autant de sujets qui nous agacent. La commune ne reste pas les bras ballants mais elle souhaite rester dans la légalité. C’est plus long mais toujours plus efficace..
Bonne lecture. ■
C’est toujours à l’état d’avant-projet même si les subventions du département ont été accordées.
Le dialogue entre le bureau d’étude, l’assistant à maître d’oeuvre et l’agglomération compétente sur la gestion des eaux pluviales est tortueux et traîne.
Le point d’achoppement se porte sur le choix d’une option avec un seul caniveau central ou deux sur chaque côté, équivalents pour l’effficacité de l’écoulement des eaux pluviales, faut-il le préciser.
Selon le bureau d’étude, avec une emprise de chaussée de moins de 4,50 m par endroit, le caniveau central ne permet pas de déposer l’enrobé avec les engins modernes, donc avec du compactage à l’ancienne, forcément inesthétique sur 300 m. de long et moins résistant au temps.
Deux caniveaux sur les côtés, ce serait des tuyaux en plus à la charge de l’entretien de l’agglo. Alors, ça coince entre eux. ■
Depuis sa (re?)construction dans les années 20, cette antique « salle des fêtes » de la place de la demi-lune n’a jamais fait l’objet d’aucune déclaration légale. Elle n’existe donc pas. à la limite, aucune réunion ne peut s’y tenir.
La rénover pour être plus économe en énergie, adapter l’accès du rez-de-chaussée aux personnes à mobilité réduite et transformer le sous-sol en nouvelle petite salle chaleureuse relève donc du parcours du combattant.
Pour prétendre à des subventions largement obtenues (à 80% en cumulant l’état et le département), il conviendra dorénavant de l’appeler « maison des associations ». Elle attend son classement en établissement recevant du public (ERP) pour que la demande aux services de l’urbanisme puisse être instruite.